Bien sûr...

The boy would have been 14, and if particularly bright, 13 or even 12(rather rare).
I happened to be lucky enough to pass the exam at 9, so joined the "6ème" at Lycée de RENNES (not so prestigious as Sarah's! ;-)) and was in "troisième" at 13. (Not better for that!)

You're right, "la troisième" is part of the "collège" cursus, which goes from "sixième" to "troisième" (chronological order).
Then, the "lycée" cursus includes the "seconde", "première" and "terminale" classes.
However, there are also "lycée-collège" i.e. highschhols where students can attend classes from "sixième" to "terminale" : "lycée" is then just a shorter way to say "lycée-collège".

FYI, the normal age when ENTERING the "troisième" class is currently 13/14 years, therefore 14 years can be considered as the average age for students attending this class now.
But I'm not sure it worked the same 200 or 300 years ago ;-)

N.B. "Louis-Le-Grand" is now stricly a "lycée" but it used to be a "collège" as well...

HTH! :-)

"Voltaire avait dix ans lorsqu’il entra au collège Louis-le-Grand."

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Après les classes primaires : cours prépératoire, cours élémentaire 1ère année, cours élémentaire deuxième année, cours moyen 1ère année, cours moyen 2ème année, l'enfant qui a atteint ses onze ans peut fréquenter un collège ou un lycée.
Le collège est un cycle court : il va de la sixième à la troisième.
Le lycée peut aller de la sixième à la terminale (baccalauréat) et même à des sections préparatoires aux concours d'entrée tels HEC, Polytechnique...
D'autres Lycées ne commencent qu'en seconde et se terminent en Terminale. Donc un adolescent peut faire une scolarité de premier cycle dans un collège et entrer en seconde de Lycée pour préparer son baccalauréat ! Puis fréquenter des classes préparatoires s'il désire passer un concours d'entrée dans une grande école.
Certains Lycées (très rare) ont encore englobé dans leur système une ou deux classes de primaire (CM1 et CM2). Cela cela rencontre surtout dans les Lycées français à l'étranger : les enfants commencent sérieusement à étudier une ou deux langues étrangères et rejoindront plus particulièrement des classes dites bilingues en sixiéme !

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Note added at 4 hrs 41 mins (2004-03-20 22:46:00 GMT)
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Au XIXème siècle pour préparer un concours d\'entrée dans une grande école (ESM, Polytechnique par exemple) il fallait avoir atteint l\'age des 18 ans révolus. Un de mes arrière grand père avait obtenu son baccalauréat à l\'age de dix sept ans, il a du en présenter un second en attendant d\'avoir ses dix huit ans et de pourvoir accéder à la classe préparatoire...

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Note added at 4 hrs 58 mins (2004-03-20 23:03:27 GMT)
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Degas est né le 19 juillet 1834 En 1850 il avait 16 ans et en 1853 19ans...
Donc :
Classe préparatoire 19 ans
Terminale 18 ans
première 17 ans
Seconde 16 ans
Troisième 15 ans
Quatrième 14 ans
Cinquième 13 ans
Sixième 12 ans

La séparation actuelle collège / lycée et donc la répartition des classes telle qu'on la connaît aujourd'hui n'existe pas depuis si longtemps en France (en gros l'après-guerre).
Avant les années 1950, une classe de 3e faisait était bien en lycée.

Pour ceux que ça intéresse:
http://www.eleves.ens.fr/pollens/seminaire/seances/college/c...

B/ L’après-guerre : comment reconstruire la France ?
La résistance porte en elle des aspirations à la démocratisation par l'enseignement qui ne seront concrétisées que dans les années 60 lorsque le contexte socio-économique s'y prêtera.

L’avènement de la société de masse : la réforme Berthoin (1959).
Deux problèmes se posent alors dans la France gaulliste :
- l’avènement de l’école de masse
la nécessité d’élever le niveau d’éducation notamment scientifique, en raison des nouveaux besoins et de la course technologique que se livrent les grandes puissances.
La réforme : - prolonge la scolarité obligatoire jusqu’à 16 ans
réorganise le système en transformant les centres d’apprentissages en CET (collège d’enseignement technique) et en créant les CEG (collège d’enseignement général).


Mais la réforme ne touche pas à la répartition entre collèges et " petits lycées " : les deux structures parallèles subsistent de manière autonome, sans très peu d’espoir de passage de l’une à l’autre pour les enfants des classes défavorisées et finalement l’orientation est déterminée dès l’entrée en 6ème . En revanche les effectifs des CEG augmentent rapidement de plus d’un 1/3.

3) Un pas décisif : la réforme Fouchet-Capelle (1963) :
Pour la première fois est mise en place une structure unique pour accueillir les élèves de la 6ème à la 3ème. Par décret, le ministre Fouchet en 1963 crée les CES (collège d’enseignement secondaire). Les " petits lycées " à l’exception de quelques établissements, commencent à se détacher.

Cependant des filières nettement distinctes demeurent : celle de l’enseignement long et classique.
Celle d’enseignement général court qui peut être complété par l’enseignement professionnel en CET.

Un cycle de transition 6ème / 5ème suivi d’un cycle terminal pratique.

D’autre part, les CEG ne sont pas encore supprimés ; malgré les craintes de Pompidou, les études classiques restent la filière reine et élitiste. De Gaulle visait en effet non pas tant l’égalité des chances, que l’assurance d’un recrutement élargi des élites. C’est néanmoins la transformation progressive entre 1965 et 1974 des CEG en CES qui va devenir la matrice du collège unique.

1975 --> création du collège unique (Loi Haby)

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Note added at 19 hrs 52 mins (2004-03-21 13:57:12 GMT)
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Je suis désolée, c\'est devenu un peu long ;O(

+ une phrase pô claire : \"Avant les années 1950, une classe de 3e faisait bien partie du lycée.\"